A l’occasion du 130ème anniversaire du discours prononcé par Pierre de Coubertin à La Sorbonne, la CCTV a interviewé différents dirigeants français dont le président du Comité Pierre de Coubertin pour une émission spéciale.
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Olympisme. 1920 – 2020: les JO d’Anvers ont 100 ans
A cette occasion, France 3 a réalisé un petit reportage, diffusé dans son journal télévisé du 25 juillet à 19h30.
Si l’on voit quelques images d’époque, il y est surtout question du cérémonial olympique, rigoureusement élaboré par Pierre de Coubertin comme l’explique Jean Durry. « Un moment de trêve, de partage, d’universalité, le cœur de l’olympime »

Vient de paraître
Ancien cadre du Comité international olympique et professeur de management public à l´Université de Lausanne, Jean-Loup Chappelet s’est intéressé au système olympique et à la façon dont la Suisse est progressivement devenue la capitale de l’administration du sport international.
Il a publié plusieurs ouvrages et articles sur le phénomène olympique.
Dans les pas et à la suite de Pierre de Coubertin, qui est à l’origine de cette situation exceptionnelle en installant en 1915 le siège du CIO dans la capitale vaudoise et qui a écrit “aucun futur ne peut se développer sans la conscience du passé“, Jean-Loup Chappelet montre comment la Suisse – et pas seulement Lausanne et la région lémanique – est devenue au cours du siècle passé un endroit unique au monde pour l’administration du sport international. L’Université de Lausanne a organisé une conférence autour de ce livre.
“La place olympique suisse”
A l’occasion de la Journée olympique, l’énigme n°2 de Stéphane Bern dans son émission “A la Bonne Heure” sur RTL porte sur Pierre de Coubertin. La réponse à l’énigme est fournie par Jean Durry, président d’honneur du CFPC.
Par Thierry Terret, délégué ministériel aux Jeux olympiques et paralympiques.
La sélection de textes regroupés dans cet ouvrage interroge l’histoire des Jeux olympiques sous un angle politique. Elle intègre des travaux sur les relations entre Jeux olympiques et politique intérieure, développe quelques pistes sur les relations internationales et interroge enfin la politique des institutions olympiques elles-mêmes. Au moment où se préparent les Jeux olympiques et paralympiques de 2024 à Paris, cette balade dans le temps rend compte du cheminement de la pensée sur cet événement planétaire, entre réflexion historique et action publique.A l’occasion de la Journée olympique, l’énigme n°2 de Stéphane Bern dans son émission “A la Bonne Heure” sur RTL porte sur Pierre de Coubertin. La réponse à l’énigme est fournie par Jean Durry, président d’honneur du CFPC.
“J’aperçois, dans la diffusion préalable de la culture, et principalement des études historiques, l’unique garantie du progrès général” (Pierre de Coubertin).
Dans la Gazette Coubertin, nombre d’auteurs nous offrent bénévolement leur talent pour éclairer l’histoire du sport par un regard biographique ou historique sur les principaux acteurs. En effet, nous aurions tort de laisser perdre un tel patrimoine d’expérience humaine et nous voulons redynamiser cet accès à la connaissance au bénéfice de tous en regroupant ces contributions utiles à la prospective de l’institution sportive. Le présent ouvrage est donc l’objet d’une compilation que nous avons choisi de situer dans une unité : Le sport français sous la III° République. Cette période est celle de la renaissance du sport, un bel héritage à faire fructifier par Paris 2024…
Dans toutes les bonnes librairies ou à commander.
Vient de paraître
Nombre de stades et d’enceintes sportives portent le nom de Jean Bouin, en hommage à l’un des plus grands athlètes du siècle dernier, mais aussi l’une des premières victimes de la Grande Guerre.
Si ses titres et records l’ont fait entrer dans la légende de la course à pied, si son destin tragique l’a hissé au rang de héros de la nation, Jean Bouin fut aussi un précurseur dans son approche de l’entraînement et dans la médiatisation de son sport.
Sortie : 26 octobre 2018
Jusqu’au 30 septembre 2018,
prix de souscription : 14,90 €.
Devant l’indigence permanente du budget des sports, Nelson Paillou, président du CNOSF, et Fernand Sastre, président de la FFF, avaient eu l’idée et obtenu à la fin des années 1970 un financement du sport ne relevant pas d’un financement par les contribuables mais par les parieurs.
La Commission Nationale « Sport de Masse » et les « Commissions pour tous les problèmes sportifs régionaux » ont été instituées par arrêté du 13 janvier 1978 pour aider les clubs par des recettes extra-budgétaires.
Le Fonds National pour le Développement du Sport (FNDS) a succédé à ces commissions par l’arrêté du 13 mars 1979.
Ce compte spécial du Trésor, budgétisé ensuite sous le nom CNDS, a peu à peu été détourné de ses origines, voire plafonné (donc récupéré, serait-ce un détournement de Fonds ?).
Aujourd’hui, on a envie de crier : rendez-nous notre argent ! Ne laissons pas détruire l’héritage de Fernand Sastre et Nelson Paillou !
Le 14 juin à Lausanne, en présence de Thomas Bach, Jean Durry a reçu le prix (Life Achievement Award) de la Société internationale des historiens olympiques (International Society of Olympic Historians – ISOH).
Cette société est une association, reconnue par le CIO, qui a pour but de promouvoir et d’étudier le mouvement olympique et les Jeux olympiques.
Le comité français Pierre de Coubertin se réjouit bien entendu de cette juste reconnaissance des travaux de son président d’honneur.
Le CIPC a tenu son assemblée générale le 20 janvier 2018 à Lausanne. A cette occasion le Pr Norbert Müller a décidé de ne pas se représenter à la présidence ; Jean Durry lui a rendu un vibrant hommage et les participants lui ont apporté de chaleureux témoignages de reconnaissance avant de le nommer président d’honneur. Après ce moment d’émotion et de vive sympathie, le Pr Stephan Wassong (Université allemande du sport de Cologne) a été élu pour lui succéder.
Le nouveau conseil d’administration :
à gauche, Elivra Ramini, secrétaire générale, Stephan Wassong, président ;
à droite les membres français, Jean Durry, vice-président et Bernard Ponceblanc, représentant du CFPC.